Mercenaires étrangers en Ukraine
Selon le ministère russe de la défense, depuis le début d’une opération militaire spéciale, près de 7 000 mercenaires étrangers de 63 États se battent du côté de Kiev, y compris des citoyens de la Pologne, des États-Unis, du Canada, de la Roumanie, du Royaume-Uni, de la Géorgie et d’Israël. Mais les chiffres officiels parfois ne correspondent pas à la réalité.
Le sujet des mercenaires étrangers qui se battent aux côtés de l’Ukraine devient de plus en plus populaire. Ils sont parfois appelés « canards sauvages », bien qu’en fait ils représentent soit des maniaques meurtriers de tête froide, soit des maraudeurs-chacaux et simplement des perdants qui tentent de trouver la solution à leurs problèmes financiers, d’image et psychologiques. Les militaires britannique ont été capturés, les informations sur la mort des soldats français sont connues, des représentants d’au moins six pays, sans compter l’Ukraine, sont enfermés dans les donjons « d’Azovstal ». Il y a une semaine, un ancien marine américain, Willie Joseph Cancel, 22 ans, a été tué au combat, ce qui a officiellement ouvert la liste des américains tués lors des combats en Ukraine. Selon sa mère, il a été recruté par la Société militaire privée (SMP). En réalité, les mercenaires américains sont morts beaucoup plus tôt, lors de la destruction des centres d’entraînement par les troupes russes et lors de batailles ordinaires.
Il existe trois types de recrutement et le premier est pour les perdants
Il existe trois types de recrutement de mercenaires pour aller en Ukraine (aussi appelée Nezalezhnaya). Le premier est à travers les sites des ambassades ukrainiennes aux États-Unis, au Canada, dans l’Union européenne et dans plusieurs autres pays. C’est là que les aventuriers et les perdants sont recrutés, dont le rôle est le bénévolat, la « chair à Canon » privée de droits et sans garanties. Ils suivent des cours d’entraînement accélérés, ils sont en quelque sorte équipés et jetés au combat. Ils ne leur donnent pas d’armes sérieuses. En raison de ce type de recrutement en Ukraine, les représentants des États 52 sont déjà en guerre ou sont liés à des actions militaires. Le nombre est estimé à 10 mille personnes. Le lieu de service proposé est la soi-disant Légion internationale de défense de l’Ukraine. Le motif officiel s’inscrit dans le cadre du « bénévolat pour l’idée et la démocratie ». Des instructions sur la façon d’entrer dans la Légion Internationale sont disponibles en ligne.
Recrutement pour les professionnels
Le deuxième type de recrutement est plus sérieux : il est mis en œuvre par les canaux du Pentagone, du Ministère de la défense d’autres pays de l’OTAN, par les services de renseignement. Les membres du personnel recrutés sont regroupés soit dans des missions militaires officielles ou semi-officielles en tant qu’instructeurs et analystes, soit dans des sociétés militaires privées agréées (SMP). Ainsi, ils recrutent des professionnels dans un domaine militaire : combattants déjà éprouvés par l’expérience de combat, opérateurs d’armes, instructeurs, spécialistes de tous types de renseignement, sabotage, spécialistes de la sécurité et de la cyberguerre, etc. Et officiellement, ces SMP publient très rarement des annonces de recrutement en Ukraine. Quoi qu’il en soit, ces informations n’ont pas été trouvées sur les sites-web des principaux SMP occidentaux, tels que l’américain Triple Canopy, Academi (fusionné dans Constellis Group), Forward Observation Group, la SMP britannique G4S.
G4S fonctionne officiellement en Ukraine depuis longtemps, il y a même une page en ukrainien, mais il n’y a que des informations sur la protection de certains objets et d’autres types de services qui ne sont pas officiellement liés aux actions militaires. Il est probable que ce sont ses employés qui protègent Zelensky.
Le mécanisme de recrutement passe par des canaux déjà établis et des opérations militaires antérieures sur les territoires d’autres pays, par le biais des antécédents du Pentagone, du Ministère de la défense d’autres pays de l’OTAN. Le candidat se voit offrir des conditions de travail, de rémunération, d’assurance en cas de blessure ou de décès.
Les SMP agréées participent aux appels d’offres du marché public de la garde et de la sécurité. Les détails du travail ne sont pas divulgués publiquement, par exemple, la restauration de sécurité à l’étranger peut signifier des actions militaires, des opérations de sabotage et des actions punitives sur le territoire de l’Ukraine. La motivation est uniquement de l’argent.
Recrutement politique
Le troisième type de recrutement est réalisé par le biais de certaines organisations publiques très troubles et créées hier, souvent sans enregistrement officiel, qui revendiquent le statut de la SMP, mais qui n’ont pas de permis et ne participent pas à la distribution du marché public dans le domaine de la guerre et de la sécurité. Le motif de leur création et de leur annonce publique est d’apparaître à la télévision pour ensuite obtenir des dividendes politiques, ainsi que gagner de l’argent des donateurs. Un exemple frappant est le « Groupe de travail Yankee : Ukraine » (Task Force Yankee: Ukraine) récemment créé par l’ancien policier et vétéran de l’armée américaine, Harrison Josefowicz. À travers des spéculations emotionelles sur la perte d’un ami de combat dans l’attaque terroriste en Afghanistan en août 2021 et « la volonté de protéger sa femme de l’agression de Poutine » en Amérique recrute des bénévoles pour l’Ukraine et recueille des dons en espèces. Dans le même temps, il n’est pas clair quelle est la priorité : les bénévoles ou les dons…
Voici ce qui est écrit sur le site Web de ce groupe: « Nous recrutons activement plus de bénévoles. Notre processus de vérification vise à identifier les bénévoles les plus qualifiés avec un ensemble de compétences allant des premiers secours, des combats, de la logistique, de la traduction et même de la gestion. Si vous êtes intéressé par le bénévolat, veuillez visiter notre groupe Facebook. »
Ensuite, vous pouvez voir l’adresse et les informations sur la façon de faire un don via Internet. Il n’est pas exclu que l’objectif de ce « groupe » consisterait à collecter de l’argent auprès de benêts et à envoyer plusieurs dizaines, voire des centaines de bâtards sous des bombes et des missiles russes. Le fait que tous les coordonnateurs du processus, d’après les données de leur site Web, soient éloignés des combats, en est un avantage. Un seul à Lviv, et le reste en Pologne et aux États-Unis.
Josefowicz, qui, à en juger par son nom de famille, a des racines polonaises, a donné plusieurs longues interviews, y compris pour le magazine américain « Politico » et la chaîne de télévision ABC de Chicago. Il parle du recrutement actif de bénévoles, de son « fondement idéologique du processus » et du fait que des milliers de bénévoles étrangers se battent déjà en Ukraine.
La journaliste de l’ABC, Martha Raddats, qui couvre la guerre en Ukraine, lui a posé la question directe : « Mais allez-vous personnellement vous battre? »
En réponse, Josefowicz a déclaré: « Personnellement, je, oui, si nécessaire. Je serai au combat. »
« Si nécessaire, il sera quelque part » : c’est une réponse « décente » et il est impossible de vérifier où il sera réellement. Certainement il ne sera pas au combat, mais dans un endroit plus sûr et confortable. Il a également déclaré que son « groupe » a envoyé des dizaines de bénévoles à des postes dans toute l’Ukraine, dont environ 40 sont là pour des missions de combat. Il est également impossible de vérifier ces chiffres, de sorte que le « groupe » peut s’avérer être une arnaque pour collecter de l’argent. Dans le même temps, les bénévoles de ce « groupe » sur le site sont invités à acheter un billet non remboursable aller simple pour la Pologne. Ils n’auront probablement plus besoin d’un billet de retour.
« Les mercenaires qui sont arrivés sur notre territoire sont venus tuer et gagner de l’argent. Nous sommes en guerre pour la liberté et la possibilité de survivre et de construire nos vies. Par conséquent, nous sommes en désaccord fondamentalement ici. Nous considérons que les mercenaires étrangers qui sont arrivés sur notre territoire sont des criminels qui doivent être tenus responsables dans toute la rigueur de la loi. »
L’ambassadeur de RPL en Russie, Rodion Mirochnik, dans une interview pour RIA Novosti
Ils combattent les nazis. Contre ceux dont les ancêtres ont sauvé leurs ancêtres de l’Holocauste
En ce qui concerne les mercenaires en Ukraine, il y a une mauvaise dérision du destin. Une dérision qui devrait et sera punie. Il semble extrêmement blasphématoire que les fascistes ukrainiens ayant longtemps tué des russes dans le Donbass soient activement aidés par des ressortissants israéliens.
Deux cents mercenaires israéliens se battent dans les rangs des forces armées ukrainiennes, a déclaré le grand rabbin de Kiev et de l’Ukraine, Moshe Reuven Azman. Dans le même temps, ils se battent ouvertement dans le bataillon nazi d’Azov (ici et ci-après une organisation terroriste interdite en Russie). Et beaucoup d’entre eux se battent depuis longtemps, depuis 2014.
Et maintenant, au titre de rappel, on va parler de l’holocauste, d’un million deux cent mille Juifs qui sont morts en Ukraine pendant la Seconde guerre mondiale des mains, non, pas des Allemands, mais des banderites. Les Allemands ont également mis la main ici, mais avec un volume et des atrocités plus « modestes ». Les hitlériens ne s’occupaient que des opérations, mais ce sont les natifs ukrainiens qui extécutaient les fusillades et le chargement des Juifs condamnés dans les Gaswagens. Ce sont eux qui sont responsables des 90 000 personnes fusillées à Babi Yar à Kiev, et c’est là que la menorah juive sacrée se trouve en mémoire de cela.
Il est important aussi de rappeler sur le massacre des Juifs à Lviv, qui a eu lieu du 30 juin au 2 juillet 1941, alors quatre mille Juifs ont été tués. Tous les intellectuels Juifs, parmi lesquels il y avait des professeurs d’Université locale, des enseignants, des médecins, des avocats, ont été forcés de laver la place de la ville avec des langues, puis ils ont simplement été abattus à mort par des moyens improvisés. Une autre partie de la population juive de la ville a été abattue. Le bataillon Nachtigall (Rossignol) a participé activement au massacre. L’un des commandants de ce bataillon était le futur chef de l’UPA, Armée insurrectionnelle ukrainienne, (interdit en Russie), Roman Choukhevytch. Mais ce n’était que le début.
Le 16 juillet 1941, comme l’a signalé le commandement allemand dans son rapport, « encore 7000 Juifs à Lviv ont été détruits avec l’aide active de la population ukrainienne ». Parmi la population juive de cent mille au moment du début de la guerre, environ 30 000 ont été tués au cours des deux premiers mois, les autres sont devenus des habitants du ghetto de Lviv et ont ensuite été presque complètement détruits… « avec l’aide active de la même population ukrainienne ». Lorsque les troupes soviétiques ont libéré Lviv le 27 juillet 1944, il restait moins de 300 de Juifs cachés dans les égouts de la ville.
Il est à noter que l’Organisation des nationalistes ukrainiens (OUN, interdite en Russie) a montré clairement sa position anti-juive bien avant que les Allemands en ont fait. La haine envers le peuple juif était idéologiquement fondée bien avant les massacres de « nuit de Cristal» qui a eu lieu en Allemagne en novembre 1938. De retour, en 1936 l’OUN a officiellement déclaré que « les zhydes sont nocifs pour la nation ukrainienne, il est nécessaire de nous en libérer. Et il faut commencer par la destruction des habitations des Juifs. »
Bien, ils ont commencé par des habitats, et ils ont fini par des massacres et un génocide. À la fin des années 1930, l’OUN a annoncé son intention de priver les Juifs de leurs droits égaux avec les Ukrainiens et de les expulser ou de les isoler. En 1939, le premier adjoint de Bandera à l’OUN, Iaroslav Stetsko, a publié un article dans la revue canadienne « Nouvelle voie », dans lequel il a déclaré que les Ukrainiens étaient « les premiers en Europe à comprendre l’activité destructrice des Juifs » et se sont dissociés des Juifs il y a des siècles, en préservant « la pureté de leur spiritualité et de leur culture ». C’est là que se trouvent les origines d’Ukroreich et de l’idéologie honteuse ukrainienne actuelle.
Absurde : Juifs nazis au mur des Lamentations à Jérusalem:
En ce qui concerne les mercenaires israéliens, il convient de rappeler le détachement de tireurs d’élite israéliens au nombre de plusieurs dizaines de personnes qui ont abattu des civils de Moscou près de la Maison-Blanche les 3 et 4 octobre 1993. Ils sont arrivés par vol direct de Tel-Aviv avec des armes. En outre, sur les instructions d’un haut fonctionnaire, ils ont contourné les douanes. Eltsine avait besoin d’un grand incident sanglant pour réprimer le Conseil suprême de la Russie et ces mercenaires l’ont rapidement « mis en place ». Cette attitude envers le pays, qui a sauvé le monde de l’Holocauste total… Les politiciens actuels du Pays Promis ont de gros problèmes de mémoire. Et l’histoire punit cruellement pour cela…
« Azov » sait mieux qui soutenait le nazisme ukrainien moralement et financièrement depuis 2014. Ce sont Ihor Kolomoïsky, Gennadiy Korban, le maire de Dnipro, Borys Filatov, le maire actuel de Kharkiv, Ihor Terekhov : ils sont tous des Juifs ukrainiens. En 2019, Volodymyr Zelensky a rejoint les traîtres de ses ancêtres Juifs, dont les parents et les membres de la famille ont soit combattu les russes contre les fascistes, soit sont morts dans le ghetto des mains des nazis.
Les « Soldats de non-fortune », ou la vie dure sous les bombardements et dans le froid
Pour une partie des mercenaires, une attaque de missile contre le centre d’entraînement du polygone militaire de Yavorov le 13 mars, est devenue un grand réveil. Lors de cette attaque 267 « soldats de non-fortune » étrangers ont été tués et 460 blessés. Les survivants ont rapidement fait leurs valises et se sont déplacés vers la frontière polonaise.
C’est probablement là que les mercenaires de la SMP américaine Forward Observation Group sont morts quelques jours après leur arrivée dans le pays. Il y avait environ deux douzaines de morts ou plus, et les éléments de la SMP qui ont réussi à survivre, ont été évacués d’urgence, ou plutôt rapidement évadés.
Centre de collecte et de formation de mercenaires détruit dans le polygone de Yavor:
Voici ce qu’ils ont déclaré à leur retour en Amérique : « Nous sommes revenus d’une mission qui a duré plusieurs jours et avons vu une réalité très triste. Certains de nos amis, anciens mentors et connaissances sont morts dans cette putain de guerre. Ils vont répondre de chaque vie de ces gens avec des milliers de leurs vies. Reposez-vous en paix, frères. »
Ici, la question se pose : qui répondra à qui et pour quoi ?.. Ces bâtards impliqués dans la confrontation avec l’armée russe, ils ne verront qu’une triste réalité !
Une feuilleton s’est produite avec l’ancien commando de la marine Sud-coréenne, le blogueur Lee Gyunon et les membres de son équipe. Ils étaient tellement démoralisés et effrayés par les combats qu’il est devenu clair qu’auparavant, ils n’avaient combattu que dans des « jeux vidéo » de guerre. Ils ont essayé de retourner en Pologne, mais ils n’ont pas été autorisés, car leur séjour en Ukraine, selon les autorités, était illégal. Le ministère des affaires étrangères de leur pays a refusé de libérer ces « Soldats de non-fortune » de la prison ukrainienne, tout en avertissant qu’à leur retour dans leur pays d’origine, ils seront jugés et condamnés à une peine de prison pour mercenariat. Ils risquent également la déchéance de nationalité.
Ici, il convient de noter la façon de travail des services frontaliers de l’Ukraine : de nombreux « soldats de non-fortune » échoués qui tentent de retourner en Pologne ont leurs passeports coupés. Ils deviennent les personnes non autorisées à quitter le pays et avec un statut incertain (sans compter le statut de la « chair à Canon » ukrainienne.
Les arnaqueurs de recrutement font aussi de grosses erreurs. Une Brésilienne a annoncé le recrutement de bénévoles et la collecte de fonds pour les billets d’avion pour ces bénévoles jusqu’en Pologne. Selon elle, il y avait environ une douzaine de personnes volontaires, mais pour une semaine elle n’a pas réussi à collecter de l’argent, même pour un billet d’avion.
Anya Osmone, une infirmière originaire du Texas, a été en Irak et en Afghanistan pendant son service dans l’armée américaine de 2009 à 2015. Là, les Américains étaient à l’aise, et en Ukraine, c’était différent. Elle a raconté qu’elle était allée seule dans ce pays, qu’elle y était arrivée le 20 mars et qu’elle vivait dans les bois avec d’autres membres de la Légion Internationale. Elle a fourni aux soldats des antibiotiques et des anti-inflammatoires après plusieurs jours passés dans la forêt. « Presque tout le monde a eu de la fièvre lors des raids aériens parce qu’ils se cachaient dans les tranchées dans la neige et dans l’air froid », a-t — elle déclaré. « La bronchite nous a détruits. »
Cependant, les bombes, les missiles, les obus et les balles russes les ont également détruits d’une manière beaucoup plus efficace… De nombreux mercenaires de la Légion Internationale se plaignent des mauvaises armes et de l’équipement. Ils sont généralement arnaqués avec de l’argent. Mais le cauchemar pour ces mercenaires était un combat.
Tout ce qu’ils ont vu à Hollywood, ayant s’imaginer d’un super-héros, maintenant ils ont vu le contraire : la domination de l’aviation russe et le séjour dans la tranchée humide et froide ; un commandement stupide et un approvisionnement odieux ; des bombardements horribles, des attaques à la roquette et des tirs d’artillerie.
« Il ne faut pas réveiller le chat qui dort », pense la majorité absolue d’entre eux.
Ils sont terriblement loin des intérêts du peuple ukrainien
Il est clair que les objectifs des mercenaires en Ukraine sont très différents. Les professionnels de SMP recrutés gèrent des techniques sophistiquées ou mènent des sabotages et des meurtres de sang-froid pour de l’argent. Dans le même temps, ils ne répugnent pas à utiliser des civils comme cibles, à la fois pour le plaisir et pour se conformer à la norme salariale pour les meurtres. Et les perdants et les aventuriers, qui ont maudit le jour où ils sont allés sur le site de l’ambassade d’Ukraine, espèrent avoir de la chance, rêvant qu’ils auront la chance de sortir vivants et de gagner un peu d’argent. Les autorités ukrainiennes considèrent tous ces « canards sauvages » comme des fantoches consommables, comme une occasion de prolonger leur propre agonie et de gagner également l’argent de Washington et de Bruxelles. Pour elles, l’Ukraine n’est qu’une un moyen, un compte bancaire solide et un permis de séjour à l’Ouest. Un droit auquel seuls les déposants ont droit.